Une rumeur ridicule qui est devenue virale des sites Web sociaux a atteint les médias à la mi-décembre. D’après cette fausse nouvelle, La première femme en France, Brigitte Macron, était à l’origine un homme qui s’était appelé Jean-Michel Droknex avant de changer de sexe.
Le mythe du complot, qui a déjà conduit la justice à s’expliquer, révèle des craintes dans le monde politique et médiatique français que l’élection présidentielle de 2022, comme les deux dernières, puisse être entachée de calomnie ou d’idéologie. Parcelle.
Plus tôt cette semaine, L’avocat de la Première Dame Jean Ennochi, a confirmé que « Il a été décidé de lancer le processus et il est en cours ». Décidément, en plus, c’est un précédent pour le fait que ce n’est pas la première fois que le couple Macron est attaqué par des rumeurs qui mélangent genre et orientation sexuelle. Lors de la campagne électorale présidentielle de 2017, l’actuel président a dû démentir l’accusation d’homosexualité.
Dans ce cas, le virus circule dans les médias virtuels depuis deux mois, à partir de mars. La théorie a été introduite sur Facebook par une fausse enquête d’internautes menée par une fausse journaliste nommée « Natacha Ray » qui serait proche de l’extrême droite.
Le nom d’une publication la plus proche de l’auteur Alain Choral, Faits & Documents, Et puis il est suivi par le journal Libérer. L’article a été découvert en octobre par le blog complotiste « Profesion Gendarme », qui atteint le niveau de connaissance qui fait grand bruit dans les articles sur les prétendus cours de sorcellerie LGBT dans les écoles californiennes ou sur la façon dont le peuple juif a été « découvert ». En France.
De plus, avec Le hashtag est #JeanMichelTrogneux En répétant sur Twitter de fausses nouvelles seront sur internet pendant des jours, interférant avec d’autres articles de groupes sérieux. Des sections proches de l’opposition d’extrême droite-Macron, le mouvement des robes jaunes, font également écho à cette rumeur.
Selon La mesure InVidJusqu’à présent, le hashtag a généré 68 300 retweets et plus de 174 000 likes. UNECertaines publications qui envoient de faux messages sont généralement accompagnées de messages hostiles au président Emmanuel Macron, mais certaines, au contraire, proviennent également de personnes qui condamnent sa diffusion et sa vulgarisation.
De nombreux articles de journaux, étonnamment, commencent à trouver l’origine de ce « message » improbable qui contient des rapports présumés, des photos de famille et des fausses déclarations sur l’état matrimonial. Les mouvements derrière ces publications incluent le gouvernement, des militants anti-UE et même des groupes anti-démocratiques ou anti-organisation.
Inquiets des néo-hippies et de leur réchauffement climatique, je vous le dis. Le type de faux messages n’est pas le type qui peut être pénétré. L’idée de cette hypocrisie est de créer des positions embarrassantes ou des positions malavisées des prochains candidats. De même, porter atteinte à la sécurité du processus électoral est clairement une tactique visant à ces fins : une fraude électorale qui entrave le bon déroulement du vote français se répand tranquillement parmi les partisans francophones de QAnon depuis des mois.
A en juger par ses extensions aux Etats-Unis, basées sur l’invasion du Capitole du 6 janvier 2021, cette rumeur sur le processus électoral est plus qu’une rumeur transphobe, elle s’attaquera au moins à la démocratie française, même si elle est honteuse. .
L’actualité transphobe n’est pas un phénomène récent. L’actuelle vice-présidente des États-Unis Michelle Obama, Kamala Harris et la première ministre néo-zélandaise Jacinta Artern ont déjà été diffamées.
L’équipe, qui a été en contact avec Brigitte Macron, l’a confirmé à des médias français comme le journal. Le Picaro Leurs intentions sont de le traduire en justice contre ceux qui sont à l’origine de cette rumeur sur son identité.
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